PSYCHOGÉNÉALOGIE

La Psychogénéalogie.arbre gnalogique

Pour pouvoir enfin vous libérer de votre passé comme du vécu et des programmations de vos ancêtres,  je vous propose d’élaborer ensemble votre génosociogramme.

Le génosociogramme est un arbre généalogique complété par tout un tas d’informations qui vont nous permettre d’analyser votre roman familial.

Nous y lirons plus facilement les répétitions de dates de naissance, de mariage, de décès, de maladies, de prénoms, de professions, de situations de vie…

Ensemble nous tenterons de comprendre le sens de tout cela et souvent les coïncidences deviennent des évidences.

Les fonctionnements et les transmissions familiaux deviennent plus clairs. Les non-dits, ces maîtres silencieux de nos destins, se dévoilent.

Toutes les familles ont en effet des secrets bien gardés qui pèsent sur plusieurs générations. alte fotografien vom krieg

Ces secrets touchent souvent la mort comme les suicides, les meurtres…

La sexualité avec les relations extra-conjugales, double-vies, l’inceste, les viols…

Les origines : de qui sommes-nous issus ?

Les problèmes de stérilité, insémination artificielle, adoption…

Les divorces et leurs causes…

Les maladies mentales dont on n’ose parler…

Les transgressions morales et / ou juridiques…

Les injustices, déshéritages…

Un secret englobe tout ce qui peut faire honte à la famille et qui du coup va être passé sous silence.

Mais les secrets transpirent à travers les attitudes étranges ou anxieuses des parents ou encore par leurs petites phrases ambiguës... Ces micro-comportements vont s’adresser à l’inconscient des enfants et leur indiquer qu’il y a du secret dans l’air. Cela peut créer une réelle souffrance.

Les secrets d’aujourd’hui ont évolué. On ne pointe plus du doigt la fille-mère. Mais on continue à stigmatiser les personnes ayant le SIDA, les toxicomanes ou encore les bisexuels…

Parfois une certaine fidélité à nos ancêtres, souvent inconsciente, nous fait entrer dans un système de loyauté invisible qui peut nous faire réagir de manière totalement inadéquate.

Il y a aussi les dettes familiales que chaque génération reçoit de ses parents et que nous continuons à « payer » sans en être conscients.

vieilles photographies.Les deuils non terminés peuvent perturber plusieurs générations. Des personnes appartenant à la même famille peuvent être « effacées » et devenir des fantômes qui viennent troubler leurs descendants.

Le génosociogramme permet d’apporter un nouveau regard sur le système familial et ouvrir ainsi la voie vers des réconciliations et des pardons. Chacun retrouve sa juste place, à la juste distance et sa propre part des responsabilités.

Le génosociogramme nous donne la possibilité de sortir de l’histoire familiale pour n’en garder que des éléments positifs.

Pour pouvoir devenir libre, encore faut-il la connaître !

Connaître et comprendre notre histoire familiale est un des meilleurs chemins pour enfin devenir SOI !
Pour illustrer mon propos, des exemples tirés de mon histoire :

Un de mes grand-pères se prénommait Gerrit. Pour avoir caché un Juif il est envoyé dans un camp de concentration en Allemagne. Il n’en est jamais revenu. On a perdu sa trace fin avril 1944…Pour que ma grand-mère puisse continuer sa vie, l’état a déclaré son décès au 30 avril 1944. Ma pauvre grand-mère a passé sa vie à le rechercher… Quelqu’un l’avait vu aux Etats-Unis, en Israël. Elle recevait des lettres de personnes qui l’aidaient à le retrouver…

Chez moi à la maison, personne n’en parlait. Il y avait des chuchotements, des allusions, mais rien de vraiment prononcé… Il était devenu un fantôme. Nous étions quatre enfants et son fantôme nous a tous troublé…

Comme le dit si bien Anne Ancelin-Schützenberger, c’était comme s’il sortait de la tombe mal fermée, après une mort difficile à accepter…

Ce deuil non terminé a eu des conséquences pour nous tous… Depuis nous avons pu faire une « réparation », faire un acte symbolique et lui donner une sépulture. Enfin faire le deuil de cet homme mort jeune et dont la famille n’a jamais pu rapatrier le corps. De nombreuses tensions dans ma famille se sont depuis apaisées. De mon côté j’ai enfin soigné la grande insécurité que je portais toujours fidèlement avec moi…J’avais un lien très profond avec mon grand-père alors que je ne l’ai pas connu.

De son histoire j’en ai créé un roman,

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Pour en savoir plus sur la psychogénéalogie, lire les ouvrages d’Anne Ancelin-Schützenberger, Elisabeth Horowitz, Paola del Castillo (Le grand livre de la psychogénéalogie), Didier Dumas…